Douze voyages
18052018La Terre vue de la Station Spariale ISS en DIRECT
FIN du MONDE à BUGARACH
Pourquoi ne pas le dire. Lisez seulement ces quelques mots, vous voudrez en lire davantage, de toute façon c’est un livre d’aventures:
Page 155, chapitre « Voyage à Sydney ».
Eileen beurrant un toast s’apprête à le compléter de « jam à l’orange » sursaute sur sa chaise en le lâchant sur son assiette. William debout derrière elle, vient d’arriver en ayant évité tout craquement du bois dans l’escalier, à pas de velours, sans le moindre bruit, comme une petite souris malgré sa grande taille et lui a mis simultanément deux doigts entre deux côtes à droite avec sa main gauche et deux doigts entre deux côtes à gauche avec sa main droite. Se croyant malin, il a croisé ses deux bras pour compliquer davantage son geste… Eileen s’écrie:
- Aïe ! Tu n’es qu’un vieil idiot William ! Te rends-tu compte que nous vivons ici, à vingt kilomètres de Sydney dans une tranquillité absolue, nous sommes isolés de tout et tu m’attrapes par surprise, par derrière – j’aurais pu mourir d’une crise cardiaque, vieux fou !
- Je suis désolé Eileen ! Rétorque William et il ajoute: Je n’ai pas pu m’en empêcher ! Et en lui-même, il est heureux comme un diable, il s’assoit près d’elle. Elle sourit légèrement, heureuse d’avoir à ce point attiré l’attention de William.
Frank, son mari ne prend même pas la peine de la défendre et continue de lire le « Times » sans les regarder.
Titre chez: Les Editions du Net
Catégories : Australia, Bugarach, Fin du monde 21 dec 2012, Libraires, LITTERATURE
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